Passionnée par les biographies et les histoires vraies, flânant dans le rayon Histoire de ma librairie angevine, je me trouve attirée par le titre d’un livre « Noëlla Rouget, la déportée qui a fait gracier son bourreau ». Sans hésiter, je repars avec et le lis en trois jours. Cette vie de femme née à Saumur, qui a vécu son enfance et sa jeunesse à Angers où je vis moi-même, m’interpelle et me passionne. Je me sens appelée à la faire connaître ici où elle est entrée en résistance face au régime nazi. (Marie-Christine Garandeau)
Interloqués par la démarche de cette femme inconnue, nous nous sommes plongés dans sa biographie... sans nous douter du choc que cela constituerait.
À l’approche de la commémoration des 80 ans de la fin d’une guerre qui marquera à jamais l’Histoire de l’humanité, alors que notre propre actualité sombre à nouveau dans un espace-temps des plus obscurs, voilà que cette jeune femme de 20 ans devenue résistante, revient d’entre les défunts pour nous donner une leçon d’humanisme des plus opportune et exemplaire.
Bouleversés par son parcours et son courage, nous avons décidé de lui dédier ces quelques pages... et d'en faire une adaptation théâtrale servant un double objectif : le devoir de mémoire et la résurrection d’un appel urgent à l’élévation.
Entrez avec nous dans les coulisses d’un spectacle qui transcende le temps.
Nous en sommes à présent à l’étape la plus délicate : le financement.
Pour créer la pièce, nous avons besoin de répétitions. Pour répéter, nous devons payer un metteur en scène, un régisseur lumière, un régisseur son, et deux comédiennes, durant au moins trois semaines. Nous allons bien évidemment tenter d’obtenir des subventions, mais les compagnies et projets retenus étant très rares, nous nous adressons également à vous, le public, les spectateurs. Vous avez un pouvoir : soutenir les projets que vous avez envie de voir.
Si le nôtre vous séduit et que le message véhiculé par Noëlla vous parle, vous pouvez lui apporter votre contribution en remplissant le formulaire ci-dessous. Il constitue notre porte d’entrée vers la création. Nous devons trouver 6000 euros pour le mois de mars 2024, période à partir de laquelle débuteront les répétitions.
Nous avons besoin de votre soutien pour exister et ranimer le message de Noëlla.
C’est malheureusement une réalité : les artistes, la culture et la créativité ne sont plus prioritaires et peinent à trouver des soutiens étatiques. Il ne nous reste plus que vous pour continuer à exister, et donner vie à ce projet, dont le propos et l’ambition dépassent largement le simple divertissement.
Merci de tout cœur.